Poème
Sur les hectares de peau qu'on a extraits d'Ayu
Et les acres de bottes desquelles on vêt Namie
Sur les lèvres de Kuu, sèches d'avoir trop pris
Et aussi bien souvent, sèches d'avoir trop donné
Sur la langue de Boa, braillarde d'ennui mortel
Et puis celle d'ERIKA, pas conçue pour lécher
Sur les culs des Johnny's qui vous font tant bander
Si seulement vous sachiez ce qui y est passé
Sur les maillots de bains des idols imbéciles
Tout le Hello ! Project, trop jeunes pour son public
Sur la Nakashima, telle un soir de sabbath
Qui traîne son anémie comme on promène son chien
Sur les lèvres atomiques de Miliyah Kato
Pendant comme des limaces fatiguées du soleil
Sur le sexe incertain de Nami Tamaki
Plus usée qu'à son âge se doivent d'être les jeunes filles
Sur la poussière qu'exhale la sémillante YUI
Sans personnalité, comme tant de chez Sony
Sur l'enfantin faux rock des vieux de L'Arc~en~Ciel
Sur cette usine à clones qui produisit Thelma
Sur la riche Utada, quelconque à en bailler
Sur les bad boys d'EXILE, moins ghetto que Régine
Sur les majors traîtresses, sur les labels indies
J'écris ton nom :
MERDE
Et les acres de bottes desquelles on vêt Namie
Sur les lèvres de Kuu, sèches d'avoir trop pris
Et aussi bien souvent, sèches d'avoir trop donné
Sur la langue de Boa, braillarde d'ennui mortel
Et puis celle d'ERIKA, pas conçue pour lécher
Sur les culs des Johnny's qui vous font tant bander
Si seulement vous sachiez ce qui y est passé
Sur les maillots de bains des idols imbéciles
Tout le Hello ! Project, trop jeunes pour son public
Sur la Nakashima, telle un soir de sabbath
Qui traîne son anémie comme on promène son chien
Sur les lèvres atomiques de Miliyah Kato
Pendant comme des limaces fatiguées du soleil
Sur le sexe incertain de Nami Tamaki
Plus usée qu'à son âge se doivent d'être les jeunes filles
Sur la poussière qu'exhale la sémillante YUI
Sans personnalité, comme tant de chez Sony
Sur l'enfantin faux rock des vieux de L'Arc~en~Ciel
Sur cette usine à clones qui produisit Thelma
Sur la riche Utada, quelconque à en bailler
Sur les bad boys d'EXILE, moins ghetto que Régine
Sur les majors traîtresses, sur les labels indies
J'écris ton nom :
MERDE