Encore une magnifique entreprise de la Japan Expo !
Bon, bon, bon ...
Aujourd'hui, j'ai été particulièrement ravi (mais néanmoins surpris) d'apprendre que le meilleur artiste Japonais in the World ever est soit KOKIA, soit Anna Tsuchiya, soit Dir en grey, soit Gackt, soit LM.C, soit miyavi, soit L'Arc~en~Ciel, soit OLIVIA (je la plains de se retrouver dans une sélection qui pousse si loin l'élitisme dans la médiocrité, excluons la d'emblée, non pas que je la porte particulièrement dans mon coeur, car je n'en ai pas, mais elle vaut mieux que ça). Petite revue de détail :
- KOKIA : THE VOICE, LA VOIX, et la même chose dans pleins de langues différentes, dont certaines que je ne connais pas, et d'autres dont je ne me souviens pas. Miss "je m'écoute chanter" 2008. Si il y en a une qui ne doute pas de son talent, c'est bien elle. Tant pis si ses compositions sont au mieux ennuyeuses, au pire pompeuses et ringardes, et si sa voix, au demeurant fort jolie et maîtrisée, n'est pas sur le marché des chanteuses lyriques dans le haut du classement, loin de là. Ceci dit, elle a bien fait de se décerner ce titre, personne ne le fera pour elle.
- Anna Tsuchiya : Elle, c'est une rockeuse, une vraie. La preuve : elle a du noir sur les ongles. La ratée du j-rock en fait, incapable de capitaliser sur une popularité pourtant conséquente en tant que mannequin. Son exceptionnelle vulgarité innée passe sans doute mieux sur papier glacé que sur disque optique utilisé pour stocker des données sous forme numérique.
- Dir en grey, LM.C, miyavi : Les pauvres filles apprécieront, les amateurs de bonne musique moins. Fabuleux tout de même que le meilleur artiste de l'année puisse appartenir à un genre qui ne provoque chez les Japonais que pouffements (les Japonais sont très polis, puisque ce sont plutôt des pierres qu'ils mériteraient).
- Gackt : Ca faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu celui-là. D'un autre côté, ça fait aussi longtemps qu'il n'a rien fait. Ah si, deux singles restés à peu près discrets hors des légions braillantes de fans de plastique et un album basé sur Gundam (Gundam est un gage de qualité incontestable, nous le savons tous, Nami Tamaki en est la preuve pourrissante) en 2007. Rien en 2008. Si la récompense vise à saluer son absence, j'adhère.
- L'Arc~en~ciel : Ah Laruku. Ah Laruku. Ah Laruku. Trois fois Ah Laruku. Rien d'autre à dire, si ce n'est vous conseiller de lire mes quelques articles sur le sujet, si tant est que mon pathétique avis puisse vous intéresser. Ceci dit, ce sont les seuls dans cette sélection qui peuvent se vanter d'avoir une vraie existence commerciale au Japon.
Aujourd'hui, j'ai été particulièrement ravi (mais néanmoins surpris) d'apprendre que le meilleur artiste Japonais in the World ever est soit KOKIA, soit Anna Tsuchiya, soit Dir en grey, soit Gackt, soit LM.C, soit miyavi, soit L'Arc~en~Ciel, soit OLIVIA (je la plains de se retrouver dans une sélection qui pousse si loin l'élitisme dans la médiocrité, excluons la d'emblée, non pas que je la porte particulièrement dans mon coeur, car je n'en ai pas, mais elle vaut mieux que ça). Petite revue de détail :
- KOKIA : THE VOICE, LA VOIX, et la même chose dans pleins de langues différentes, dont certaines que je ne connais pas, et d'autres dont je ne me souviens pas. Miss "je m'écoute chanter" 2008. Si il y en a une qui ne doute pas de son talent, c'est bien elle. Tant pis si ses compositions sont au mieux ennuyeuses, au pire pompeuses et ringardes, et si sa voix, au demeurant fort jolie et maîtrisée, n'est pas sur le marché des chanteuses lyriques dans le haut du classement, loin de là. Ceci dit, elle a bien fait de se décerner ce titre, personne ne le fera pour elle.
- Anna Tsuchiya : Elle, c'est une rockeuse, une vraie. La preuve : elle a du noir sur les ongles. La ratée du j-rock en fait, incapable de capitaliser sur une popularité pourtant conséquente en tant que mannequin. Son exceptionnelle vulgarité innée passe sans doute mieux sur papier glacé que sur disque optique utilisé pour stocker des données sous forme numérique.
- Dir en grey, LM.C, miyavi : Les pauvres filles apprécieront, les amateurs de bonne musique moins. Fabuleux tout de même que le meilleur artiste de l'année puisse appartenir à un genre qui ne provoque chez les Japonais que pouffements (les Japonais sont très polis, puisque ce sont plutôt des pierres qu'ils mériteraient).
- Gackt : Ca faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu celui-là. D'un autre côté, ça fait aussi longtemps qu'il n'a rien fait. Ah si, deux singles restés à peu près discrets hors des légions braillantes de fans de plastique et un album basé sur Gundam (Gundam est un gage de qualité incontestable, nous le savons tous, Nami Tamaki en est la preuve pourrissante) en 2007. Rien en 2008. Si la récompense vise à saluer son absence, j'adhère.
- L'Arc~en~ciel : Ah Laruku. Ah Laruku. Ah Laruku. Trois fois Ah Laruku. Rien d'autre à dire, si ce n'est vous conseiller de lire mes quelques articles sur le sujet, si tant est que mon pathétique avis puisse vous intéresser. Ceci dit, ce sont les seuls dans cette sélection qui peuvent se vanter d'avoir une vraie existence commerciale au Japon.