La reconnaissance !
Occupé que j'ai été par d'autres activités plus démonstratives, dramatiques, et néanmoins sincères de ci, et surtout de là, sur la toile (de mygales) qu'est le net, ce misérable blog a été ces derniers jours la proie des vautours planant consciencieusement autour d'un cimetière poussiéreux (spéciale dédicace) laissé à l'abandon.
Or, alors que je vous laissais dans votre morne désespoir moyen et hebdomadaire, il s'est passé quelque chose de fantabuleux, d'abracadabratisque, de wonderfierce. J'ai atteint la reconnaissance. La reconnaissance est un de ces ravissements qui n'en sont que plus beaux qu'ils viennent d'ailleurs quand on ne s'y attend pas. Encore qu'il fallait s'en douter. Remember.
Il y a quelque temps, j'eus l'audacieuse et subversive idée, d'avec la verve que tous me connaissez, si tant est que le prix y fut mis, de dégobiller sur la place publique mon mépris pour les conventions orientées nipponitude en général, pour la Japan Expo en particulier.
Las, j'osais une légère allusion à X "l'amitié après la mort, surtout si ça rapporte de l'oseille" JAPAN, en toute bonne foi et sans mauvais esprit particulier. Tout ce que je disais, mal m'en prit, c'était que la mort d'hide avait permis à X JAPAN de devenir un groupe de légende, d'aquérir ce statut, de la même manière que le sublimirifique James Dean profita de son involontaire et injuste accident pour tourner une publicité en 2008 avec Jane Birkin, tout heureux qu'il est de porter des Converses, on ne peut que le comprendre. De la même manière encore que le seul argument marketing qui permettrait encore à Ayu d'atteindre le top sans magouilles serait un suicide plus ou moins accidentel.
Badaboum, empêtrés dans leur abrutissement complaisant, les fans me tombèrent dessus par tonnes complètes (on compte environ 10 fans moyens d'X JAPAN pour atteindre une tonne), ce qui eut pour effet de non seulement beaucoup me faire rire, mais aussi vous, mes chers, bien trop chers, visiteurs.
Et donc, voilà où je voulais en venir, avec tout le sens du détournement poulpesque qui caractérise mes jets d'encre pixellisés, j'ai vécu, grâce à ce convoi heureusement pas trop exceptionnel, car les handicapés existent pour que nous puissions en rire, la reconnaissance. Un de ces grandioses et sans appel commentaires est désormais rentré au musée de la bêtise jpopesque.
Après cet article, les idiots seront encore plus idiots puisqu'ils hurleront l'amalgame que leurs quelques centaines de millions de neurones racornis feront entre moi et Jpop Trash. Mais moi, je me sentirai presque célèbre du coup.
Or, alors que je vous laissais dans votre morne désespoir moyen et hebdomadaire, il s'est passé quelque chose de fantabuleux, d'abracadabratisque, de wonderfierce. J'ai atteint la reconnaissance. La reconnaissance est un de ces ravissements qui n'en sont que plus beaux qu'ils viennent d'ailleurs quand on ne s'y attend pas. Encore qu'il fallait s'en douter. Remember.
Il y a quelque temps, j'eus l'audacieuse et subversive idée, d'avec la verve que tous me connaissez, si tant est que le prix y fut mis, de dégobiller sur la place publique mon mépris pour les conventions orientées nipponitude en général, pour la Japan Expo en particulier.
Las, j'osais une légère allusion à X "l'amitié après la mort, surtout si ça rapporte de l'oseille" JAPAN, en toute bonne foi et sans mauvais esprit particulier. Tout ce que je disais, mal m'en prit, c'était que la mort d'hide avait permis à X JAPAN de devenir un groupe de légende, d'aquérir ce statut, de la même manière que le sublimirifique James Dean profita de son involontaire et injuste accident pour tourner une publicité en 2008 avec Jane Birkin, tout heureux qu'il est de porter des Converses, on ne peut que le comprendre. De la même manière encore que le seul argument marketing qui permettrait encore à Ayu d'atteindre le top sans magouilles serait un suicide plus ou moins accidentel.
Badaboum, empêtrés dans leur abrutissement complaisant, les fans me tombèrent dessus par tonnes complètes (on compte environ 10 fans moyens d'X JAPAN pour atteindre une tonne), ce qui eut pour effet de non seulement beaucoup me faire rire, mais aussi vous, mes chers, bien trop chers, visiteurs.
Et donc, voilà où je voulais en venir, avec tout le sens du détournement poulpesque qui caractérise mes jets d'encre pixellisés, j'ai vécu, grâce à ce convoi heureusement pas trop exceptionnel, car les handicapés existent pour que nous puissions en rire, la reconnaissance. Un de ces grandioses et sans appel commentaires est désormais rentré au musée de la bêtise jpopesque.
Après cet article, les idiots seront encore plus idiots puisqu'ils hurleront l'amalgame que leurs quelques centaines de millions de neurones racornis feront entre moi et Jpop Trash. Mais moi, je me sentirai presque célèbre du coup.